Les prévisions de l’ombre

Wiki Article

Le château de Camelot s’étendait sous un ciel de plomb, où les nuages lourds semblaient mater sur les remparts de la même façon qu'un divination silencieux. L’aube peinait à ôter la chape grise qui recouvrait le royaume, et l’atmosphère elle-même semblait imprégnée d’une tension indifférent. Dans les entrailles du château, Morgane avançait d’un pas mesuré, ses toi effleurant les murs en pierre froide. Elle n’avait pas fermé l’œil de l'obscurité, hantée par les dessins qui s’étaient révélées à elle dans les reflets de l’eau. La voyance ne lui livrait jamais l'essentiel des réponses, simplement des fragments à organiser. Les couloirs conduisant aux localisations les plus anciennes de la forteresse étaient filet empruntés, exclusivement traversés par les uniques professionnels du gardiennage chargés de conseiller les prisons souterraines. Les murs y étaient épais, témoins silencieux des âges révolus. Morgane savait que c’était là que se dissimulaient certains des énigmes les plus séculaires du gouvernement. La voyance lui dictait de trouver ici, de plonger dans les ombres du passé pour voir la menace qui pesait sur le employé. Les légendes racontaient que Camelot s’élevait sur d’anciennes fondations druidiques, des régions où autrefois la magie circulait normalement. Certains murmuraient encore que les pendentifs en particulier conservaient la évocation des ages révolues, et que les gens savaient être en phase avec pouvaient élire l’écho des âmes disparues. La voyance ne se limitait pas à lire le futur, elle s’étendait entre autres dans le passé, puisant dans les vestiges de ce qui avait s'étant rencontré pour informer ce qui allait advenir. Morgane ralentit sa rayon lorsqu’elle atteignit une arche basse, partiellement secrète derrière une rayon de torches éteintes. Ce passage, oublié des chevaliers, menait aux archives scellées du château. Peu de gens en connaissaient l’existence, et encore moins osaient s’y aventurer. Pourtant, la voyance la guidait jusqu’ici, tels que un sens invisible la poussant à franchir cette extrémité interdite. Elle poussa la porte de cible épais qui grinça par-dessous son poids. L’air à l’intérieur était stagnant, chargé de poussière et de souvenirs figés dans les siècles. De hauts rayonnages recouverts de parchemins s’alignaient dans la bague obscure, chacun renfermant des traces du passé, des mémoires rédigées par des scribes disparus depuis des générations. La voyance de Morgane lui dictait de trouver parmi ces textes, de fouiller dans ces dossiers oubliés pour renfermer ce que l’histoire tentait de taire. Ses doigt glissèrent sur les reliures craquelées, effleurant des sceaux immémoriaux avec lequel les icônes semblaient familiers. Son regard s’arrêta sur un manuscrit autonyme d’un symbole druidique, un champ traversé d’un rai ondulant à savoir une rivière. Ce message, elle l’avait aperçu auparavant, fabriquer sur des perles rituelles secretes au cœur des forêts sacrées. Elle ouvrit doucement le parchemin, les messages tracés à l’encre brune s’étalant sous ses yeux de façon identique à un appel lisant les âges.

Les envies dansaient dans l'âtre du château de Camelot, projetant sur les murs de pierre des ombres mouvantes, presque allégoriques. La nuit était tombée sur la cour du mat Arthur, enveloppant les couloirs d'un silence illuminé, juste troublé par le murmure du vent s'engouffrant dans les meurtrières. Ce soir-là, une visibilité inhabituelle planait dans l’air, un frisson imperceptible qui fit tressaillir les plus superstitieux. Au noyau de la forte assemblée, une féminité au regard perçant était assise sur un épais tapis de velours vermillon. Son physionomie, conjointement agréable et austère, portait les fabricants d’une connaissance que filet pouvaient mêler. Elle était connue marqué par le nom de Morgane, mais pour joliment, elle était notamment l’incarnation vivante de la voyance, celle avec lequel les prédictions exerçaient frémir autant dans les domaines qu’elles fascinaient. Les chevaliers rassemblés autour de la table ronde l’observaient avec un mélange de effroi et de soif. Ils avaient aperçu bien des batailles, souffert des ennemis redoutables, mais ce que Morgane lisait dans le destin dépassait tout ce qu’ils pouvaient surmonter par la simple intensité de l’épée. Ce soir, le mat Arthur lui-même avait demandé son concours. La guerre menaçait aux bornes du position et il aimerait savoir si la voyance de Morgane pouvait lui révéler l’issue des combats prochaine. Elle ferma les yeux une période, à savoir pour être en phase avec un murmure venu d’ailleurs. Puis, doucement, elle ouvrit la paume de sa coeur, révélant une poudre argentée qu’elle laissa s’écouler sur un morceau de parchemin traditionnel. Aussitôt, les grains formèrent des idéogrammes contraires, et son spectre se suspendit. — Le destin du pays est suspendu à un fil, murmura-t-elle. La voyance ne ment jamais, et ce que je vois dans ces signes est une vie équivoque, tissé de trahisons et de mystères. Arthur fronça les sourcils. Il n’aimait pas se plaire citer trahison, encore moins quand cela concernait notre destin. — Peux-tu être plus définitive ? demanda-t-il d’un accent grave. Morgane plongea son regard dans les amours. — La voyance ne donne pas vivement des réponses claires, mais une situation est indubitable : une personne à la cour vise à ta atteinte. Un silence pesant s’abattit sur la parure. Chacun sentit l’angoisse immobiliser sur ses épaules. La voyance n’était pas une pratique croyance dans ce profession de chevaliers et de magie. C’était une banalité qui s’imposait avec puissance, et Morgane en était l’une des plus redoutables gardiennes. Arthur croisa les jambes et observa chaque personne de ses chevaliers. Il connaissait leur honnêteté, mais la voyance de Morgane ne pouvait sembler ignorée. Si elle disait approfondie, dans ces conditions un traître rodait dans l’ombre, prêt à souffleter. Il devait irriter vite, avant que la inspiration ne se réalise. — Si une personne ici trahit mon gouvernement, dans ces conditions je le découvrirai, dit-il d’une voix forte. Les chevaliers se regardèrent en silence. Lancelot, fidèle chien ou chat du divinateur, semblait troublé. Gauvain, lui, serrait le poing à savoir si la seule étalon de la trahison le révoltait. Perceval, plus profanes et plus candide, observait Morgane avec charme. Morgane ne signifie rien de plus. Elle savait que la voyance n’était qu’un guide, et que le destin ne se révélait jamais totalement. Il fallait attendre, nouer, et assimiler que petites étoiles se présenteraient. La nuit s’étira encore, baignant Camelot d’une illumination irréelle. Les chandelles vacillaient, et quelque part, dans l’ombre des couloirs du château, une silhouette se mouvait discrètement. Une main gantée effleura une dague secrète sous un manteau. L’avertissement de Morgane n’était pas en vain. L’avenir d’Arthur était en ligne de compte, et la voyance n’avait geste que raconter un complot qui s’étendait bien au-delà de ce qu’il imaginait.

Report this wiki page